Cette parabole fait penser à un avènement : Tout est prêt pour célébrer des noces....

Ces noces, nous y sommes invités et nous déclinons parfois l’invitation. Soit en trouvant des prétextes pour ne pas nous rendre aux rendez-vous que nous fixe le Seigneur, soit par les manques d’amour dont nous pouvons faire preuve, soit en ne portant pas notre vêtement de noce […]Nous sommes invités mais aussi invitants, nous sommes les serviteurs envoyés à la croisée des chemins.[…] Nous voyons bien aujourd’hui l’urgence de cette invitation. Et de celle d’être témoins d’un Dieu de miséricorde, Père de tous, sans distinction.

A sa vigne, Dieu ne veut ni propriétaire, ni héritier, mais des ouvriers ! Des ouvriers qui travaillent patiemment à sa vigne, dans l’Amour du travail bien fait. La condition du travail bien fait : c’est d’aimer la vigne...

La pauvreté : C’est la sainteté de François d’assise. Pour Lui, la pauvreté n’est pas un concept moral, spirituel, une ascèse ou encore une question de justice sociale, mais un chemin à la suite et avec « l’unique pauvre », le Christ qui de riche s’est fait pauvre pour rejoindre les hommes et leur donner sa joie...

Nous sommes tous égaux, aimés de la même façon de la part du Père. Nous n’avons pas à nous comparer, à nous accuser mutuellement, mais à nous convertir chacun...

Le 24 septembre 2023, à la messe de 10h30....L’église se remplit petit à petit jusqu’à être entièrement pleine. Il faut dire que ce n’est pas une simple messe dominicale qui va être célébrée, mais une messe des familles et aussi celle de la rentrée paroissiale. Tout cela fait du bien de prier le Seigneur au milieu de tant de monde et de revoir tous ces visages connus et moins connus que j’aime...

Travailler à la vigne du Seigneur, ce n’est pas accomplir un projet personnel qui nous tient à cœur : C’est s’engager dans une mission qui nous est donnée à un certain moment de notre vie...

Beauté de notre communauté, riche de toutes ces familles venant avec leurs tout petits ; courage de ces mères de familles, témoins de l’unité des générations en ce jour, le dimanche...

Pardonne à ton prochain le tort qu’il t’a fait (Si 28, 2)